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Melibee
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Maureen est prof d'anglais dans une école secondaire de Bruxelles. L'année 2009 semble démarrer en douceur, jusqu'à ce que, quelques semaines après la rentrée, commence un chahut mené par un de ses élèves : Andy. Quelle en est la cause ? Comment faire face à ce problème ? Comment faire face à sa classe ? Y aurait-il un lien entre cette crise et l'homme dont elle a fait la connaissance sur un site de rencontres ? Sa vie professionnelle va-t-elle rejaillir sur sa relation avec cet homme ?
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Un destin hors du commun et une interrogation permanente?: pourquoi un fils de famille alsacienne, très patriote, choisit-il de servir l'ennemi héréditaire??
Une rencontre fortuite en 1936, dans le métro parisien, une situation très inquiétante, voire extraordinaire, scelle la destinée de Rodolphe Strengler. Dans sa descente aux enfers, un sursaut d'humanité et un amour peu commun lui feront prendre conscience de ses erreurs et engageront pour lui une sorte de rédemption, une espérance. Mais arrivera-t-il à apaiser cette conscience qui le rappelle sans cesse à la réalité??
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Actuellement, l'Homme jouit pleinement de sa supériorité. Il ne respecte ni la nature, ni les animaux, ni même ses propres voisins, alors qu'il est censé être la forme de vie la plus évoluée.
3013. Un nouvel être est apparu, plus grand, plus intelligent, plus avancé. L'Homme n'est plus au sommet de la chaîne alimentaire, il est considéré comme un simple animal. Comment va-t-il se débrouiller dans ce nouvel environnement ?
Sylvain, Julie et Salima racontent leur calvaire par le biais d'un journal intime. Un de ces nouveaux Maîtres du Monde a également tenu à participer à l'expérience.
Vous ne ferez plus aux autres ce que vous ne pourriez supporter vous-même.
Isabelle ANDRÉ est née à Auxerre en 1984 et a grandi dans l'Yonne. Éternelle rêveuse, elle a toujours aimé se créer des univers par l'intermédiaire du dessin, de la peinture, de la lecture, du jeu et de l'écriture. À force de remettre en question le monde réel, elle finit par écrire Et si l'Homme devenait une Proie ? pour bousculer les mentalités et sensibiliser les lecteurs à la cause animale.
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Les histoires de ce recueil, glanées au fil des ans, racontent un quotidien vécu par des femmes et refoulé au plus profond d'elles-mêmes, car «?ce n'est pas convenable?». Elles parlent d'une société où les relations familiales et sociales au sens large pèsent de tout leur poids sur l'existence des femmes et des hommes.
À travers cette série de personnages féminins, l'auteure a voulu faire apparaître une façon de vivre. Ces femmes ont tous les âges, elles sont célibataires, femmes au foyer, veuves ou divorcées, mais toutes sont prises dans un étau entre des aspirations vagues et un quotidien souvent tracé d'avance, où règne une violence ordinaire et où seule une soumission totale permet de survivre. Il n'y a pas d'échappatoire possible.
Toutes les formes de violences coexistent?: menaces, violences verbales et physiques, peur de rester vieille fille, peur de la stérilité, peur de l'Autre. Ces femmes essaient d'influer sur leur devenir et leur seul moyen de se protéger est le recours au mensonge, à la dissimulation, à des voies détournées, voire à la magie, car on ne peut pas vivre en dehors du clan familial.
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On ne choisit pas sa famille : voilà le constat qui définit le mieux le jeune Eric Gautier, adolescent des plus ordinaires mais en proie à de terribles cauchemars.
Ayant découvert la triste vérité qui entoure sa naissance, Eric va tout abandonner et se lancer en compagnie de son amie Claire à la recherche de la femme qui l'a mis au monde. Mais les deux lycéens ne sont pas au bout de leurs surprises, car certaines personnes feront tout pour leur barrer la route.
Dans leur quête, une question reviendra sans cesse : qui est l'Ange Noire??
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La découverte fortuite d'une anomalie génétique chez un habitant du petit village de Jin Zhu, dans le Sud de la Chine, est susceptible, si elle est exploitée, d'avoir des répercussions durables et insoupçonnées sur le devenir de l'humanité.
Une cascade de réactions imprévisibles se déclenche. Les passions se déchaînent en fonction des intérêts et des motivations de chacun?: la sagesse et l'honnêteté des uns se heurtent à la soif de pouvoir et à l'ambition effrénée des autres, jusqu'à ce qu'un meurtre soit commis.
Alors, faut-il ou non exploiter cette anomalie ?
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Un matin, cela m'arrive de temps à autre, je décide d'aller faire une partie de pêche. Alors que j'arrive au bord de la Dordogne, mon attention est attirée par les cris d'un milan royal. Amusé, je l'observe un moment et soudain, comme par magie, je me réveille au bord de la mer dans un paysage qui aurait pu être un désert si quelques palmistes rabougris et des haies ne lui donnaient un faux air d'oasis. Je ne connais pas cet endroit mais je n'y suis pas un inconnu. Que s'est-il passé ?
Dans ce roman, l'auteur, entre fiction et vérité, nous fait partager la vie de son grand-père, en 1895, au Viêt Nam, sur la Route Mandarine.
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Clarisse a épousé Maurice. Il n'est pas méchant, il est simplement lourd et encombrant à ses heures. Clarisse ne travaille pas, elle peint, des arbres, parfois des oiseaux?; elle promène aussi ses jolies mains sur un piano?; elle ne joue qu'un seul morceau.
Maurice est à la tête d'une entreprise de limonade qui compte trois chauffeurs. Ils ont une grande maison blanche, un barbecue. Ils ont aussi un bois avec une cabane en rondins. Maurice est adroit à tuer le lapin. Ils ont une bonne, Rose Marie, qui prend soin de leur ménage.
Ça laisse les bras ballants tout ça, mais c'est très répandu aujourd'hui.
Ce roman est drôle, léger et grave tout à la fois.
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Josette avait une sérieuse surcharge pondérale. Ce n'était pas de sa faute, mais de celle de la pâtisserie trop proche de son domicile, et de son grand amour parti sans laisser d'adresse.
Josette n'était pas jolie. Ce n'était pas de sa faute, mais de celle de ses parents vraiment très laids. Elle ne s'en plaignait pas, elle n'avait tout de même pas complètement hérité d'eux.
Josette n'était plus très jeune. Ce n'était pas du tout de sa faute, mais de celle de la marche du temps que personne ne peut stopper.
Josette n'était pas très intelligente. Là c'était de sa faute, mais elle ne s'en apercevait pas, et ses parents n'y étaient pour rien.
Et malgré tout cela, Josette plaisait, en quelque sorte, aux hommes, aux femmes, aux enfants, aux animaux, et peut-être même aux objets inanimés s'ils pouvaient s'exprimer, car personne ne la jalousait.
Josette était concierge dans le 15e arrondissement de Paris, et avait une curiosité très aiguisée pour tout ce qui ne la regardait pas. Mauricette, concierge en face de chez elle, était sa meilleure et seule copine.
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Je fus hautaine, prétentieuse, arrogante, méprisante et riche...
Puis...
"En Sanskrit, on appelle l'oiseau 'deux fois né'. C'est également le nom que l'on donne, à l'homme, quand il parvient à sortir de l'enveloppe aveugle de son ego pour entrer en rapports vivants avec son milieu." Rabindranath Tagore "La voix humaine ne pourra jamais couvrir la même distance que celle de la petite voix silencieuse de la conscience." Gandhi "Une blessure par le feu finit par guérir, mais une blessure par la parole laisse une cicatrice qui ne se referme jamais." Valluvar (pensée indienne) "N'aie de mot à la bouche qui ne soit dans ton coeur." Kabir (pensée indienne) "On ne peut pas peindre du blanc sur du blanc, du noir sur du noir. Chacun a besoin de l'autre pour se révéler." Manu Dibongo (pensée africaine)
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Rosa et Georges : un cocktail d'aventures, de sexe, de drogues, de nuits blanches, de bars américains, de mensonges, de manipulation, mais aussi d'amour. Rosa aime. tandis que Georges profite...
Le Var, la Corse, la Bourgogne, Orléans. Elle tente de le fuir, de ne plus l'aimer, de ne plus céder, par l'éloignement, par d'autres rencontres, mais elle ne parvient pas à l'oublier. Il cumule les conquêtes, il aime par-dessus tout que les femmes l'aiment, il ne ménage aucun coeur, jusqu'au jour où il tombe gravement malade.
Flora Bagnis est née en 1980, dans le Var, et réside actuellement à Barjols.Mère d'un enfant de 7 ans, elle suit une formation pour devenir hôtesse de l'air. Grâce à ses ouvrages, elle espère alerter le public sur les dangers des drogues, de l'alcool et de la délinquance sous toutes ses formes, en usant d'humour et d'autodérision.
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Comment fuir un compagnon brutal, alcoolique ? Comment reconstruire sa vie ailleurs ?
Le passé collera-t-il à nos pas irrémédiablement et saura-t-il irrémissiblement alourdir notre marche ? Comment choisir notre nouvel espace de paix, comment l'accepter ? S'il venait seul à se présenter sur notre route, sans que nous ayons le temps de l'analyser, pourrait-il nous emporter vers le bonheur ?
Jessica a un destin bousculé, pourtant elle croit au merveilleux. Mais le merveilleux ne se trouve pas sans risques à prendre. La nouveauté est parfois surprenante, inquiétante, mystérieuse.
Parviendra-t-elle à comprendre pourquoi l'homme chez lequel elle va travailler porte un masque et ne se montre presque jamais ? Elle le rencontre par hasard et il s'efforce, toujours très vite, de s'effacer de sa vue. Dans sa nouvelle maison, les miroirs sont interdits, comment savoir quel être vit ainsi ? Un ogre, un malade, un défiguré, un blessé de guerre ?
Jessica a quitté l'angoisse pour une ambiance très brumeuse, dans une Islande qui l'est plus encore. Parviendra-t-elle à défaire tous les noeuds de sa nouvelle vie et dans quelle perspective ?
« Laisse aller le passé et le passé te laissera aller.» « Vis pour ce que demain va t'apporter et non pour ce qu'hier a su t'enlever.» « J'ai toujours su que je rirais de mes larmes anciennes mais j'ignorais que j'allais pleurer devant mes rires d'hier.» « Un jour, tu ne laisseras qu'un souvenir dans le coeur de certaines personnes. Fais en sorte de faire partie des bons.» (auteurs inconnus) « On doit exiger de nous, que nous cherchions la vérité, mais non que nous la trouvions.» (Denis Diderot)
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La Place Cléricée ; flétrissures, carcans et exécutions publiques dans une petite ville de province au dix-neuvième siècle
Josianne Avenard
- Melibee
- 2 Août 2013
- 9782362523724
A découverte d'un ancêtre guillotiné en 1817 sur la place publique de sa ville natale, conduira la narratrice à rechercher dans les archives, les procès d'assises et les châtiments infligés aux femmes et aux hommes qui vécurent au cours de la première moitié du dix-neuvième siècle, dans les petites cités et villages d'une province française.
Ces gens ont existé. Ils étaient domestiques, artisans, cultivateurs, commerçants, ou anciens soldats et vécurent en ces temps troublés, au cours desquels se succédèrent révolutions, empires, royautés et républiques. Un jour, leurs vies basculèrent et ils se retrouvèrent emprisonnés en des maisons d'arrêts sordides, jugés en Cour d'Assises et exposés sur l'échafaud pour y être flétris, attachés au carcan, ou encore guillotinés sous les yeux du peuple, assoiffé d'émotions fortes.
La narratrice, tout en cheminant dans la ville où elle vécut enfance et adolescence, nous conte ces procès d'assises dans un style romancé et dialogué. Elle s'invite aussi parfois, dans le temps jadis, pour assister aux expositions et exécutions sur la place publique de la ville.
Son récit qui lui fait entrecroiser plusieurs époques, l'entraînera au plus secret de son histoire familiale, jusqu'à l'attirer à suivre des pistes qui pourront se révéler dangereuses, sur une terre encore hantée par les fantômes du passé.
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Un amour qui tue !
Comment peut-on encore parler de la mort en parlant d'amour ?
Quel contraste !
En raison de ce record d'affluence d'opinions diverses et variées avancées autour de ce terme, serait-il encore possible de se baser uniquement sur ses expériences personnelles pour mieux en saisir le sens ?
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La notice d'utilisation ; la déroute des moeurs africaines
Denise Mboulet-riff
- Melibee
- 15 Décembre 2011
- 9782362520297
À travers le temps et l'espace, mon amour pour mes deux filles était si grand, si fort et en même temps si déchirant, que je réalisai soudain, que ces petites grandissaient sans moi... Je m'éveillai en sursaut, après une nuit d'angoisse, bouleversée par cette réalité. Je pensai à ce besoin de moi, que rien n'eût pu compenser : mes filles étaient seules, et n'avaient personne pour les conseiller, leur tendre la main, les aider à traverser la nuit...
Au matin, j'achetai un cahier bleu et, les yeux brouillés de larmes, je leur écrivis une longue lettre qui commençait ainsi :
Mon bébé, je n'ai pas pu fermer l'oeil de la nuit, tourmentée par ce mal de vous... Je suis loin de toi et de ta soeur, et, douloureusement, je me rends compte de cette absence, de ce vide, lorsque tes yeux s'ouvrent tout grand dans le noir de ta chambre...
Tu viens d'avoir 13 ans, et tu as peur... Alors je vais te parler à travers ces lignes, afin que tu saches tout ce que tu dois savoir de la vie, et que tu puisses t'aimer et te protéger...
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La vie nous fait croire en nos ombres et lumières. Nous savons longtemps, avec assurance, qui nous sommes. Et puis. un événement roule lourdement sur notre quotidien. On se retourne, on brave le présent, on revendique haut et fort nos certitudes. Notre vécu doit nous donner raison et nous permettre d'envisager lucidement tous nos chemins. On détient une vérité, celle de nos habitudes, de notre religion, celle de notre éducation, de notre pays. Un grain de sable pourtant nous arrête. On crie, on s'érige, mais on sait. Pourquoi donc est-il soudain plus difficile d'avancer, toujours avec arrogance, en grandes enjambées, sur l'inattendu ? On traverse une période de recyclage mais on réfute le nouveau moi et puis.
Le pardon est-il difficile ? Qu'est-ce qui le rend possible ? Pardonner, est-ce oublier, effacer un peu une plaie, cicatriser par un sourire humoristique, se dire qu'il y a déjà tant et trop de guerres pour encore en fomenter une nouvelle, personnelle ? Pardonner, est-ce s'attacher à d'autres voies, se surcharger de bénévolat, ou changer en profondeur, en délicatesse, sans rêver d'un monde meilleur ?
« La meilleure façon de ne pas avancer, c'est de suivre une idée fixe.» (Jacques Prévert) « Partir de ce qu'on croit savoir, et tirer sur le fil en souhaitant qu'il se brise.» (Jean Rostand) « Faire état des défauts d'autrui est déplorable, y penser est perturbateur, en parler est dévastateur. Aussi, n'énoncez rien, afin qu'ils disparaissent dans le vide.» (Dromtonpa Tibet 1005-1061) « Quand il me vient de larmoyer à la suite d'une infamie, je pardonne au monde et je m'excuse de m'y être exposé.» (Soumaïla)
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Solange a quarante-sept ans. Elle vit seule. Animée de son exigence naturelle et armée de son courage, elle a rompu, il y a cinq ans déjà, avec une vie qui ne pouvait la satisfaire.
Passé ce no man´s land où les chagrins se laissent pleurer, elle tente de se reconstruire. Entre le 1er mai qui ouvre le roman et le 1er mai qui le clôture, elle ne cessera de s´interroger sur le sens du mot bonheur. Au fil du temps elle en aura différentes définitions. À travers des circonstances parfois douloureuses, grâce à la richesse de belles amitiés, à la découverte de nouvelles amours, malgré les inévitables échecs, elle retrouvera sa route.
Un tableau, objet précieux de son enfance, véritable allégorie de sa solitude, sera le reflet et le témoin de ses chutes et de sa renaissance. Et puis, une rencontre capitale, un musicien et sa musique, dont l´empreinte sera inaltérable, va l´initier à elle-même et lui permettre d´aborder ce « deuxième âge » avec un sourire qui ressemble un peu à la sagesse, à une certaine idée du bonheur.
Joëlle VAUTIER a trois passions : la littérature, le théâtre et la musique. Elle joue et chante sur les meilleures scènes parisiennes ou de province, fait du cabaret, enseigne le théâtre et le chant, met en scène Offenbach ou Aragon et crée ses propres spectacles, dont l´un d´entre eux, Cette Marianne, a été enregistré par France-Culture. Nue sous la neige est son premier roman.
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Il est précisé dans tout bon manuel à l'usage de « l'animateur-de-centre-de-vacances et-de-loisirs » que « seuls les enfants sont en vacances ! ».
À l'observation de la vie qui se déroule dans cette microsociété qu'est une « colo », on ne doutera pas un seul instant de la pertinence de cette formule. On ajoutera, non sans malice, que l'animateur devra être pourvu d'un équilibre psychologique non précaire et d'une résistance physique à toute épreuve, s'ajoutant à un solide sens de l'humour, les événements qui se déroulent au cours de ces vacances si particulières pouvant paraître accablants pour ce dernier, mais présenter un côté burlesque à l'observateur extérieur, gourmand de ce genre de situation.
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Caluche est échoué sur la grève de ses pensées, les yeux figés derrière ses petits verres carrés. Sa bonne bouille de poupon majeur, son petit nez rond et ses cheveux châtain clair frisés lui confèrent un air jovial et bon enfant. Je suppose qu'il poursuit ses rêves de la nuit car je le vois esquisser un sourire sans qu'il y ait vraiment matière à se fendre la gueule. Il émerge soudain, comme souvent, assez déroutant dans ses réactions.
- C'est quoi l'histoire, au fait ?
Il me fait sursauter.
- Quelle histoire ?
- Le truc à Etretat, c'est quoi ?
- Ah, je n'y étais pas. Excuse-moi. C'est l'histoire d'un pêcheur qui a disparu en mer.
- Disparu en mer ?
- On a retrouvé son compagnon ce matin, bleu et transi de froid dans une excavation de la falaise.
- Un trou de la falaise ? Et alors ? Qu'est-ce qu'on vient foutre là-dedans ? Tu as vu le temps ? Faut voir ça avec la gendarmerie maritime ou la gendarmerie locale et puis basta !
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Qu'il s'agisse d'une tentative de thérapie d'un jeune homme dangereusement troublé, de l'émergence d'une amitié à trois ou du glissement hors de soi d'un éthologue solitaire, ces trois nouvelles tentent de traiter du cheminement, malade, extrême ou pas, pour mettre à nu surtout les désirs qui ne peuvent qu'en surgir. En usant de l'excès ou de l'étirement sur la durée, se déploient des récits privilégiant l'intimité, à deux, à trois, voire en solo. Une certaine traque de l'être s'y relaie toujours, la folie étant au rendez-vous parfois. Même si l'échec s'affirme, ce sera toujours via l'expérience, le temps de la vivre, celui d'y apparaître soi-même au bout, jusqu'au bout.
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Peut-on tuer par amour ?
Peut-on survivre audit « Syndrome de Stockholm » ?
Peut-on vivre avec le Syndrome de Stockholm ?
À travers des lieux parisiens, WOLF vous plonge dans cet univers que la société cache. Vous allez entrer dans la complexité des sentiments. Oserez-vous lire la réalité sur ce drame social qu'est la situation des femmes battues ?
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A la suite de la lecture du Why café de John P. Strelecky, l'auteur fut amené à se poser une question essentielle : et si nous laissions nos instincts sans restriction ni barrière nous guider ? C'est-à-dire laisser faire ce que notre coeur nous suggère sans tenir compte des contraintes matérielles et humaines. Suivant ce précieux conseil, il écouta donc son coeur et se lança dans l'écriture de ce roman.Cet ouvrage sous forme de biographie consiste, tout en n'ayant pas peur de se mettre a nu ni d'être jugé, à tenter d'apporter au lecteur un point de vue exterieur lorsqu'il se trouve dans une situation identique à celle de l'auteur et ainsi réussir à y remedier.Son livre est aussi teinté d'expériences spirituelles qui lui sont venues depuis la mort de son père. Depuis, deux mots jalonnent son expérience personnelle : Patience et Confiance. « Je suis encore un ver qui ne demande qu'à se transformer en papillon. » Son roman Tout ça pour ça est un support afin de continuer son chemin. Il souhaite donner des conférences, mais aussi aller à la rencontre de ses lecteurs, afin de pouvoir les aider dans la compréhension de notre système de pensée et de son fonctionnement.
L'auteur a espoir de pouvoir voyager afin de continuer sa quête personnelle, celle de la connaissance de soi. Avec un unique objectif : vivre en harmonie.