Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Prix
Bord Du Lot
-
Seule désormais avec sa fille, Madame Eliot se refuse à envisager de quitter «les Chênes», cette belle demeure où l'accompagnent tant de souvenirs de son bonheur perdu.Elle devra se résoudre, bien à contrecoeur, à la seule solution qui s'offre à elle: louer la Tour, bâtisse attenante à la maison et pouvant disposer d'un accès particulier.Peut-elle imaginer qu'à compter de cette simple décision, elle se verra plongée dans un autre monde, rempli d'angoisse, avec cet étrange locataire qu'elle va choisir et ces trop nombreux accidents mortels qui vont désormais entourer son quotidien?
-
On n'oublie pas le Cantal comme ça !
Lise pourtant le croyait. Elle avait d'un coup tiré un trait sur ce pays, sur sa jeunesse, sur ses rêves, quand sa famille l'avait prétendue responsable de l'incendie de la grange, au seuil de ses 18 ans.
Elle avait décidé de partir et d'oublier. Effacer le souvenir de cette injustice et ne plus penser à ce fichu pays. Ne plus jamais revenir !
Douze ans plus tard, son frère, vétérinaire disparaît dans des conditions mystérieuses. Trois jours, elle se donne alors trois jours pour revenir et régler sans discussion le sort de cette famille ingrate !
Elle n'imagine pas de se retrouver soudain plongée dans une aventure extraordinaire, qui lui donnera rendez-vous avec un assassin mais surtout avec elle-même, dès lors qu'elle saura percevoir sa vérité profonde dans la beauté austère des paysages de son Pays et dans l'impérieuse nécessité de poursuivre une histoire inachevée. -
-
-
Les descendants des mineurs gardent tous, gravée dans leurs gènes, la grande histoire du bassin houiller autour de Decazeville, son essor industriel, l'image emblématique d'un Jaurès, et la difficile reconversion après la fermeture des usines. Mais la petite histoire, celle qu'on ne raconte pas dans les livres, s'écrit dans le secret des familles et des hameaux.
Cécile, pharmacienne à Rodez, est contrainte de se séparer de la maison de ses grands-parents aux Escabrins où elle revient pour « faire le vide ».
Un dernier coup de grisou va faire exploser la vie qu'elle s'était recomposée après le décès de son mari et de son père. Père qui lui « lègue » un lourd secret qu'elle ne découvrira que peu à peu, au bout d'une longue (en)quête jalonnée par une sorte de jeu de piste inquiétant, sous la forme de clés USB cachées dans des lieux aux douloureux souvenirs, et posant une nouvelle question à chaque réponse.
Angoisse de se sentir épiée, espoir naissant d'un renouveau avec Philippe, surgi de son enfance... ange ou démon?...
Peut-on se relever quand tout ce qui vous entoure ressemble désormais à un champ de ruines? Ou bien est-ce une chance de se reconstruire définitivement sur un passé nettoyé?
Coup de grisou se lit d'un jet, comme un thriller, un polar sans policier, un roman d'aventure et d'amour, car il est tout cela...
-
-
-
Oui, c'est vrai, ce titre, Coco la bite, a un aspect provocateur. Cette provocation est, vous pourrez le constater, présente tout le long de ce livre atypique.
Et si ce coté provocateur n'était, en réalité, qu'un écran de fumée qui permettrait de lire au second degré la douleur d'une enfance maltraitée.
Il faut tout le talent, la tendresse et, disons le, l'amour de l'auteur pour vous faire rire à longueur de pages des tourments de Coco la bite, né un trente février, avorton, bigleux, avec un pied-bot et une grosse bite.
Cet indésirable marmot, issu ??? de la famille Tuyau ! n'est qu'un souffre-douleur mais, au lieu de vous les agiter sous le nez ses douleurs, il en parle comme anecdotiquement, les entortille dans ses loques et ne vous fait partager que ses rêves et ses (rares) petits bonheurs. L'image surprenante d'un titi parisien et de son univers-cloaque.
Une lecture qui vous laisse en équilibre instable entre le rire et l'inconfort d'en rire mais comment ne pas adhérer à l'écriture si particulière de Gérard Delbet et à ses trouvailles langagières.
Je ne sais pas ce qu'il en sera pour toi, lecteur, mais pour moi chez qui l'émotion a dépassé l'amusement, Coco la bite a trouvé une place définitive dans un petit neurone de ma mémoire et je me demanderai toujours ce qu'il est devenu et s'il est enfin arrivé au bout de sa quête:
« J'avais l'impression que j'allais passer ma vie à réclamer de l'amour.»
-
-
-
-
«Des Perles en héritage» est le deuxième roman de Marie-Claude Couderc. Dans son premier livre «Les Perles bleues du pays d'Olt», elle nous emmenait en voyage dans son cher Aveyron natal. Dans ce nouveau roman, la visite se poursuit. Sans être une suite, l'auteur nous plonge dans les arcanes d'une histoire familiale bien ancrée en pays d'Olt. Imaginer ce qu'est devenue la descendance d'Alice, l'héroïne du premier roman, est exaltant, d'autant que ses descendants vont eux aussi s'engager dans une mystérieuse aventure. Légende?? Peut-être, mais peut-être pas?!
Louise est la petite-fille d'Alice Valjean. Avec son frère jumeau, ils vont ensemble découvrir «une véritable panoplie d'objets ayant appartenu à plusieurs générations de Valjean», une famille aveyronnaise depuis la nuit des temps. L'un de ces «joujoux» les embarque dans une aventure empreinte de patrimoine local, une aventure insensée pour deux scientifiques dignes de ce nom.
-
Folpie, jeune femme à l'enfance problématique, quitte sa Bretagne natale, puis Paris, pour le sud de la France.
Artiste inspirée, elle sculpte l'argile avec talent et originalité dans un atelier troglodyte...
À travers d'improbables rencontres, elle tente de conjurer la passion naturelle, impossible et indéfectible qu'elle éprouve depuis toujours pour Ewan, pilote humanitaire.
Mais toutes ces amours, à la fois sincères et passagères, pousseront doucement Folpie vers son destin...
Une histoire douce-amère, où la rêverie s'affronte au concret...
-
Élise a quitté le tourbillon parisien pour s'installer dans le Lot. Elle élève seule sa fille Sam, atteinte d'une maladie génétique. Élise espère que l'authenticité des gens de la campagne facilitera leur intégration. Les choses ne sont pas si simples et leur présence va perturber la vie de ce petit village qui semble figé dans un passé douloureux et compliqué. Émile, un vieil homme bizarre, semble les épier. Leur veut-il du mal ?
-
Au fil des mots, ce récit s'apparente à un monologue halluciné dans lequel chaque corridor, chaque nouvelle rencontre conduit à une impasse relationnelle. Pour savourer pleinement les méandres de l'univers métaphorique et poétique de Cécile, il faut accepter de se laisser guider par la narratrice, comme jadis on s'abandonnait aux délicieux frissons du train fantôme.
Cécile fuit un monde réel qui lui renvoie une image peu satisfaisante d'elle-même. Alors, pour toucher du bout des doigts une forme de bonheur, elle s'échappe dans ses rêves. Mais pour jouer les funambules, il faut savoir garder l'équilibre. Et Cécile va basculer.
Les mots qu'offre Catherine Leprince à Cécile ont une musique très particulière, très poétique. Elle crée une nouvelle alchimie entre le sens et le son. En écrivant à la première personne, l'auteur oblige le lecteur à faire corps avec l'héroïne, à ressentir ce qu'elle vit, à se perdre avec elle dans les méandres de son imaginaire. Il faut accepter de se laisser porter, dérouter, bousculer, d'oser nous confronter à une forme de folie. Qui d'entre nous ne s'est jamais évadé dans un monde inventé de toutes pièces, un monde qui rassure, qui apaise ? À quel moment Cécile décroche-t-elle ? Y a-t-il une frontière bien définie entre la «normalité» et ce que l'on appelle la folie ? Un roman intense, provocateur, drôle, dérangeant, très vital.
-
-
Quand la fille naît, même les murs pleurent...
Henry-noël Ferraton
- Bord Du Lot
- 3 Mars 2014
- 9782352081593
Dans une famille paysanne auvergnate, au XVIIIe siècle, la naissance d'une fille n'est pas un événement heureux. Le garçon reprendra l'exploitation et gardera le patronyme familial. On devra trouver un mari et surtout doter la fille.
À Soubrevèze, près de Saint-Flour, Jacques Vallot a déjà trois filles. Sa femme vient de mettre au monde un garçon. Malheureusement le bébé sera foudroyé au retour de son baptême. La malédiction sera de courte durée car sa femme mettra au monde trois autres garçons. Marguerite, encore une fille, viendra clôturer la famille de Vallot. Mais avec cette Marguerite commencera la série des filles Vallot réfractaires à l'autorité, jusque-là incontestée, du père, du mari, du frère.
La Révolution Française puis le XXe siècle verront les femmes Vallot participer aux petits et grands combats des féministes.
La Guerre de 14-18 et le travail des femmes, la Résistance, le droit de vote, le droit à l'avortement, la politique, seront autant d'engagements qui marqueront la vie de Rose, de Clémence et d'Amélie, puis de Pierrette pour terminer avec les contemporaines, Agnès et Anne-Laure.
Toutes, à l'image de Marguerite, la révolutionnaire, et de Marie-Anne, la meunière effrontée, apporteront leur pierre à l'édifice de l'égalité et surtout de la complémentarité homme-femme.
-
-
-
Les ruines du château de Cuzorn recèlent un ancien secret. Une malédiction, lancée par une sorcière sur son bûcher à la fin du Moyen Âge, hante les lieux. Les seigneurs de Cuzorn ont été maudits sur plusieurs générations. Du Moyen Âge jusqu'à la fin du XIXe siècle, l'histoire déroule les conséquences diaboliques de cette malédiction. Des crimes horribles ont lieu dans le château de Cuzorn et ses environs. Comment les gens de ces époques lointaines ont-ils fait face à ces événements tragiques et mystérieux?
Ce roman est une promenade à travers l'histoire et les lieux pittoresques de ce village du Haut Agenais. Il nous emporte dans une réalité où le surnaturel et le tragique se mêlent à la véritable histoire du château de Cuzorn.
-
-
Créer une histoire c'est aller au-delà de l'existant, réinventer le monde. C'est la liberté.
Je vous livre une histoire fabriquée par ma grand-mère.
Pour cela, elle fouillait en elle et autour d'elle: un lieu, un personnage, un objet, une colère, une passion, une croyance... et le conte germait, prenait corps, se mariait avec les mots. Mon aïeule portait un grand intérêt au peintre Henri Martin qui fit de longs séjours à Labastide-du-Vert, village proche de Castelfranc où elle résidait. À vrai dire, elle se trouvait des points communs avec l'artiste : une vie partagée entre Paris et la vallée du Vert, une automobile pétaradant sur les routes du Lot, haletant sur les chemins du causse. Et surtout, logés au fond du coeur, l'amour pour le Quercy et une passion, la peinture.
Un soir, comme on cueille une brassée de fleurs, ma grand-mère réunit dans son imaginaire le Peintre, la vallée du Vert et ses habitants, ses charmes et ses sortilèges. Elle leur donna chair et couleurs. Ses mots circulèrent en moi, sonnèrent dans l'espace et dans le temps. Et me donnèrent envie de les donner à goûter à d'autres...
Marie-Claire Hégray est née à Cahors, en Quercy, au pied des collines. Professeur de Lettres en Gironde, elle reste attachée au berceau de sa famille. Elle aime mettre en scène les aventures de personnages au fort tempérament, ancrés dans leur terroir. Ombre portée sur la vallée du Vert est son quatrième opus. -
Dans un endroit du sud de la France pas très loin de Mirepoix, on trouve le village de Huraix. Un village pittoresque de campagne avec son ancien bourg perché sur une colline qui surplombe une rivière et qui regarde le village moderne en contrebas. Avec son histoire et ses histoires, ses personnages truculents ou plus sombres. On croit toujours que tout est simple à la campagne, que la nature permet de se ressourcer et d'en finir avec les turpitudes modernes. Rien n'est plus faux que les apparences et comme personne ne connaît vraiment toutes les histoires qui concernent ses habitants, sauf peut-être les vieux qui écoutent et ne disent rien, le temps passe avec ses sursauts.
Sans compter l'époque et tous les travers qui vont avec et quelquefois l'Histoire qui rentre en collision avec le présent. Bien sûr il y a la politique qui anime les journées et les conversations, puis aussi la modernité qui s'installe, pas toujours pour le meilleur. Comme dit le René : « On va en parler, mais faut pas lasser son monde ! ». -
Rencontre dans un train avec Alfred Hitchcock revenu de l'au-delà pour parler du cinéma d'aujourd'hui, soirée au bar de l'hôtel Crillon avec Tom Cruise qui prend le narrateur pour quelqu'un d'autre, souvenir du tournage de l'alunissage d'Apollo 11 filmé en 1969 par Stanley Kubrick...
Dans ces 5 nouvelles l'auteur relate ses pittoresques rendez-vous avec des grands du 7ème art.